Hello mes loups.

Encore un de ces projets qui me fait penser qu'il faudra bientôt 2 AAm par an !!!

Amitiés

Alban

Obligement !!!! ,-)

C'est astucieux le coup du jonc de carbone au bord de fuite, c'est léger et cela permet de faire un ponçage régulier du bord de fuite tout en le solidifiant.
Juste un point qui me gêne un peu, c'est que les longerons sont mis à plat, mécaniquement ce n'est pas logique par rapport aux efforts et contraintes sur les ailes en vol.
Bon courage pour la suite, tu n'es pas au bout !

Etselllllent !!!

Et pas con le coup du jonc, surtout pour la finition en effet.

labize

JL, pour répondre à ta question, une baguette est beaucoup plus résistante à la rupture si on la plie dans le sens de la plus grande épaisseur, or les contraintes sur une aile sont essentiellement orientées dans le sens vertical car dues aux accélérations dans les virages ou lors d'un looping. Il n'est pas rare de faire encaisser 4 ou 5 G d'accélération à nos modèles, voire beaucoup plus en cas de déclenché, si l'avion pèse 8 kg, les ailes encaissent 40 kg dans le sens vertical alors que d'avant en arrière c'est quasiment constant et négligeable.
D'autre part, tu me dis que tu caissonnes entre chaque nervure pour renforcer et dans notre esprit cela revient à mettre un longeron dans le sens vertical mais il est fractionné et perd sa solidité. Pour aller plus loin, le longeron d'extrados subit un cisaillement par rapport au longeron intrados lors des accélérations verticales, c'est pourquoi il faut caissonner entre les nervures pour résister aux efforts de cisaillement.
J'espère que cette explication est claire, ce n'est pas facile à exprimer
A +